Ce samedi soir de décembre 1979, Michel P. s'en souviendra longtemps. Comme tous ceux qui, sur les routes de France, de Belgique, d'Allemagne, de Suisses, ont eu de la chance - ou la malchance -, de prendre à bord de leur véhicule l'une de ces énigmatiques auto-stoppeuses fantômes.
Il est près de minuit. Michel, de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme de vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche très années 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.
A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stop, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à se remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, le temps qu'il a passé en compagnie de cet être venu d'ailleurs n'a pas excédé quelques minutes. Mais il est des apparitions plus longues !
AFFAIRES LOCALES
C'est la cas de la "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados). Stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.
L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non plus inactive, debout sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...
FROIDE COMME DU MARBRE
Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.
Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture. Ce fut le cas à Chapareillan (Isère). Là, sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.
UN MYSTÈRE NON RÉSOLU
Chose certaine : ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits. On constate aussi qu'il s'agit de femmes ou de jeunes filles, presque toujours vêtues de blanc. Pourquoi ce costume ? On remarque que la plupart des auto-stoppeuses sont mortes au sortir de boites de nuit. Portent-elles encore les vêtements adaptés aux effets de la lumière noires des discothèques ? Il faut cependant noter que, parfois, les stoppeuses sont en habit de cuir noir ou brun, casque au bras. Ce sont des victimes de la moto.
Dans tout les cas, les revenantes ont été foudroyées par la mort, sans comprendre, et de là vient peut-être la persistance de leur présence sur les lieux, comme si elles flottaient, indécises, entre l'existence et le néant. Jouent-elles un rôle préventif, tels des anges gardiens protégeant les vivants d'accidents de la route ? A quel monde appartiennent-elles ? Toutes ces questions restent; pour l'heure sas réponse.
Bonjour je m'appel Dario et jai 16ans je vais vous raconter mon histoire de mon enfance a maintenant.
Je devais avoir environ 5-6 ans, nous habitions sur fairmount et st-denis si je me rappel des rues. Sa faisait déjà 2 ans que nous habitions là, au début il ne se passer rien. Plusieurs nuits ma mère se réveilla a cause d'une musique(c'était toujours la même musique)sa provener d'un jouet alors elle éteigna la musique et a la voir si nous dormions tous mais nous dormions.
Toujours dans la même maison, un jour quand nous étions dans le salon, on a écouter de la vaisselle se fracasser. Nous somme tous aller voir et on voyait la vaisselle flotter dans les airs se diriger une par une vers le murs pour se fracasser. Quand les prêtres venez bénir notre maison tout étais normal, jusqu'à ce qu'ils mette le pied dehors de la maison que tout recommencer. Un jour les esprits son parti d'eux même mais nous savont quand même déménager.
Notre prochaine maison est situer sur la rue alma et beaubien. Tout les fois que je regarder la télé dans le salon je voyais une femme cheveux court brun ou chatain me regarder. Je ne disais rien a ma famille vu ce qu'il nous est déjà arriver. Nous somme rester 4 ans dans cet maison.
La prochaine maison est sur d'outremont et jean-talon. Un jour quand je changer la couche de mon neuveux dans la chambre de ¸ma mère, j'ai snti qu'on me tirer mon chandail, je me suis retourner mais il n'y avait personne. Un soir, en allant a la cuisine(la lumière était fermer) jai vu démon coourir sur notre table au sol, lorsqu'il ma vu il c'est approcher de moi il a tendu le bras pour prendre mon bras alors j'ai vite allumer la lumière et il a disparu je ne l'ai plus revu. Défois je voudrai revenir a ce moment pour voir si j'avait pas halluciner.
Maintenant où que j'habite sur Poutrincourt, il y a aussi des esprits. La nuit dans ma chambre je me sens observer ainsi que dans la toilette et le salon. Un soir quand mon frère garder mon neveux et le fils a l'ami de ma soeur, il m'a raconter qu'il avait vu un gars en train de le regarder du corridor, il s'en va voir mais rien personne n'était la. Il faut aussi que je dise que avant qu'il me dise sa je sentait qu'il y avait un esprit d'un gars. Un jour pendant que je regarder la télé dans la chambre de mon frère, ma soeur est arriver en courant avec son amie, dans la chambre. Elle venaient de me dire qu'elles ont vu la lampadaire a côter d'eux bouger, je les croyais parce que je voyais la peur dans leur yeux.
Un jour pendant que je dormait dans la chambre de mon frère vu que je gardait un de mes neveux, 5 minute après d'être sur le lit cherchant mon sommeil j'ai écouter qu'on venait de graffigner le lit juste en dessous de moi, je sentais qu'on me toucher les poils du bras pendant 5 minutes, j'ai aussi senti qu'on a donner un gros coup sur le lit et pour finir cette nuit j'ai senti qu'on m'ouvrait une parti de ma joue gauche. Un autre soir, pendant que j'était a la cuisine en train de me faire un bol de céréale j'ai vu une personne passer dans le corridor pour se rendre au toilette, je m'en vair voir je remarque que la porte de la toilette était un peu ouverte environ 1-2 cm, alors je m'en vais finir mon bol de céréale en repassant vers la toilette jai vu qu'elle était grande ouverte, mon coeur a commencer a accélérer. Un soir j'ai appeler bloody mary dans ma toilette c'est alors que j,ai écouter un coup sur la fenêtre de la toilette jai regarder rien,en me retournant jai vu une ombre blanche passer dans le bain, cette même nuit quand j'était a l'ordi j'ai vu une femme avec une robe blanche me regarder juste devant moi mais elle a disparu après une seconde et pour vous dire ma peur a disparu cette journée vu que j'ai fait le rituel de ``SANS PEUR`` et sa la fonctionner.
Les reptiliens
Qui sont donc ces ETs humano-reptoïdes dont on entend de plus en plus parler en ce moment ?
Ils sont cités dans de nombreux témoignages (conscients, enlèvements ETs, voyages astraux...)
et leur description recoupe avec celle d'êtres de légendes et de traditions ancestrales...
Abordons sérieusement le sujet.
Un matin de juillet 1983, Ron et Paula Watson, de MontVernon dans l'Etat du Missouri (USA), observèrent deux étranges humanoïdes vêtus de combinaison argentées qui se trouvaient dans un champ contigu à leur ferme. Apparemment, ces drôles d'êtres étaient en train d'examiner une vache noire, étendue immobile sur le sol. Les Watson, qui observaient la scène à la jumelle, eurent soudain la surprise de voir la vache et les mystérieux enquêteurs s'envoler dans les airs jusqu'à un grand appareil de forme conique, qui se dressait dans un bosquet voisin.
Le couple n'en avait pas fini avec les surprises car deux nouvelles entités bipèdes se trouvaient près de l'engin. D'après les descriptions, l'une était une sorte de grande bête du genre Bigfoot, au corps recouvert de poils hirsutes. Mais le second ressemblait vraiment à un homme-lézard. Comme l'expliquèrent les Watson, il mesurait à peu près 1.70 m et avait une peau verte reptilienne, des pieds et des mains palmés, et des yeux rouges de félin aux pupilles verticales. Puis, toujours sous les yeux du couple, les quatre personnages et la vache paralysée entrèrent dans l'appareil, qui ne tarda pas à décoller.
"JW" enlevé aux Etats-Unis par 5 Lézards (3 mâles et deux femelles)
Il a décrit ces créatures (dans le vaisseau dans lequel on l'a mené de force) comme ayant "... Des corps humains à l'exception près qu'ils présentaient les caractéristiques de poissons pour les écailles et la queue, comme des reptiles. Ils portaient quelques vêtements. Les parties sexuelles des femelles étaient similaires à celles de femmes humaines. Leurs jambes et leurs bras avaient plus du lézard que de l'homme. Ils avaient des caractéristiques de grenouilles et humaines à la fois. Leurs yeux étaient grands et protubérants. Ils avaient 3 doigts et 3 orteils...
Chris Davis
Vers 2 heures du matin, le 25 Juin 1988, Chris Davis, un jeune Afro-américain âgé de 17 ans, retournait chez lui en voiture. Passé le marais de Scape Ore, près du village de Bishopville, en Caroline du Sud, il se rendit compte qu'il venait de crever. Ils s'arrêta et changea rapidement de pneu. Il s'apprêtait à reprendre le volant, quand il aperçut un personnage solitaire qui traversait en courant un champ voisin dans sa direction.
Surpris de voir quelqu'un à cette heure avancée de la nuit, David observa attentivement la silhouette et, alors que l'inconnu s'approchait de lui, il découvrit avec horreur qu'il n'avait jamais vue auparavant. Plus tard, Davis jura que l'apparition, qui selon ses dires mesurait plus de 2 m de haut, ressemblait à un lézard géant à la peau verte et écailleuse, avec des yeux rouges et brillants en amande. Apparemment, la chose n'avait que trois doigts et trois orteils, chacun d'eux se terminant par une griffe noire d'environ 10 cm. Tétanisé, Davis finit par se jeter dans sa voiture. Dans l'intervalle, l'étrange créature avait atteint le véhicule et s'était mise à batailler avec le rétroviseur extérieur comme si elle voulait ouvrir la porte du conducteur. L'homme-lézard était si excité que lorsque Davis accéléra pour échapper à son emprise, il sauta sur le toit de sa voiture et s'y accrocha, alors que l'adolescent fonçait à près de 120 Km/h à travers les étendues marécageuses. Heureusement pour Davis, la créature finit par lâcher prise, tomba du toit et disparut enfin au loin.
David Icke
Lors d'un voyage remarquable d'une quinzaine de jours, David Icke (célèbre écrivain, éminent détracteur du Gouvernement Mondial et de l'emprise des ETs Reptiliens sur celui-ci), alors qu'il traversait les Etats-Unis, en 1998, a rencontré séparément plus d'une douzaine de personnes qui lui ont dit avoir vu des humains se transformer en reptiles pour reprendre leur forme, et cela, juste devant leurs yeux. Deux animateurs de télévision auraient eu une expérience identique au moment où ils auraient interviewé un homme qui était en faveur de la centralisation globale du pouvoir, connue sous le nom de "Nouvel Ordre Mondial". Après l'entrevue en direct, le présentateur aurait dit à sa collègue qu'il avait eu l'expérience d'une vision incroyable durant l'interview. Il aurait vu le visage de l'homme se transformer en une créature ressemblant à un lézard, puis, retourner à son aspect humain initial. Sa collègue lui aurait confié que, quant à elle, ce seraient les mains de l'interviewé qu'elle aurait vu se transformer en celles d'un reptile. L'animateur aurait aussi raconté à D. Icke l'expérience vécue par un ami policier alors qu'il aurait effectué une visite de routine dans un immeuble à bureaux situé à Aurora, près de Denver, au Colorado. Le policier aurait fait un commentaire à la directrice d'une des compagnies du rez-de-chaussée concernant l'extrême sécurité dans le bâtiment. Elle lui aurait répondu qu'il devrait visiter les étages supérieurs s'il désirait connaître la véritable ampleur de la situation. Elle lui aurait désigné un ascenseur qui ne s'arrêtait qu'à certains étages au sommet du bâtiment et, tout en bavardant, elle lui aurait dit ce qu'elle avait vu quelques semaines auparavant. Les portes de l'ascenseur se seraient ouvertes et un individu très étrange serait apparu. Il était blanc au point d'en paraître albinos, mais il avait un visage en forme de lézard et ses pupilles étaient verticales comme celles des reptiles. Cet individu-lézard serait sorti de l'ascenseur et serait monté dans un véhicule officiel qui l'attendait dehors. Le policier aurait été si intrigué qu'il aurait utilisé son temps libre pour enquêter sur les compagnies situées au sommet du bâtiment et desservi par les mystérieux ascenseurs. Il aurait découvert qu'elles auraient été toutes des prétextes à la CIA.
Apparences
Au-delà de ceux qui pensent que les reptiliens ne sont que des vestiges mémoriels remontant peut-être à plus de 65 millions d'années, quand nos ancêtres (rongeurs), fuyaient les dinosaures. Ou qu'ils ne sont que des hallucinations induites par une activité électrique anormale à l'intérieur du lobe temporal... Il y a ceux qui ont tracé des points communs sur l'aspect physique de ces créatures. Il faut garder à l'esprit qu'il y a aussi plusieurs types de reptoïdes classifiés par castes... Tout en haut on trouve les Dracos (albinos, ailés et plus grands) et au dessous les reptiliens "de base".
Les mystérieuses pluies rouges de l’Inde
Les assassinats de John F. Kennedy et d'Abraham Lincoln ont souvent été à l'origine de comparaisons entre les deux présidents.
Mais une analyse quelque peu approfondie de ces "coïncidences" permet de les relativiser dans une large mesure. Petit tour de quelques-unes des affirmations les plus fréquentes:
» Les 2 présidents ont été élus au Congrès à 100 ans d'intervalle (1846 et 1946)Cette assertion est exacte, mais il ne faut pas perdre de vue qu'à part sur ce point, leurs carrières politiques ont été fort dissemblables.
» Les 2 présidents ont été élus à la Maison-Blanche à 100 ans d'intervalleCette coïncidence est évidemment intimement liée à la précédente. Rien d'étonnant à ce que deux hommes qui ont accédé à la politique au plan national à 100 ans d'intervalle tentent leur chance à la Présidence à 100 ans d'intervalle également (d'autant que l'élection suprême n'a lieu qu'une fois tous les 4 ans, JFK n'aurait donc pu se présenter en 1957, 1958, 1959, 1961, 1962 ou 1963).
» Les 2 présidents ont été victimes d'un attentat un vendrediPuisqu'il n'y a que 7 jours dans une semaine, la probabilité que Kennedy et Lincoln meurent le même jour était déjà d'une chance sur sept à la base. Et les probabilités augmentent encore quand on pense que les attentats contre un Président des Etats-Unis ont de fortes chances d'avoir lieu lors d'apparitions publiques, et que celles-ci ont lieu majoritairement en fin de semaine (entre le vendredi et le dimanche).
» La secrétaire de Kennedy s'appelait Lincoln, celle de Lincoln se nommait KennedySi la secrétaire de JFK s'appelait effectivement Evelyn Lincoln, il n'y a aucune preuve que Lincoln ait eu une secrétaire dénommée "Kennedy". Il s'agit très vraisemblement d'une invention qui a la vie dure. Les noms des secrétaires d'Abraham Lincoln étaient John J. Nicolay et John M. Hay.
» Kennedy et Lincoln comptent tous deux 7 lettresCet élément est particulièrement faible. Il est extrêmement facile de trouver des points communs entre deux personnes basés sur le nombre de lettres. Outre que la probabilité que 2 Présidents américains aient un nom composé du même nombre de lettres est assez élevée (ceux-ci ont tous un nom de 4 à 10 lettres), cet élément occulte le nombre beaucoup plus grand de différences (longueur des prénoms, etc...).
» John Wilkes Booth et Oswald sont nés à 100 ans d'intervalle
Cette assertion est fausse... John Wilkes Booth est né en 1838 et Lee Oswald en 1939.
» Un mois avant son assassinat, Lincoln se trouvait à Monroe, Maryland. Un mois avant son assassinat, Kennedy se trouvait à Monroe, Marilyn
Cette affirmation n'est rien d'autre qu'une blague salace erronée. Marilyn Monroe est décédée en août 1962, plus d'un an avant la mort de JFK. Quant à un lieu nommé Monroe et situé dans l'Etat du Maryland, il n'en existe pas actuellement... mais peut-être en était-il autrement au 19ème siècle.
On peut aussi souvent lire cette affirmation assez drôle, noyée dans la masse des autres "coïncidences": "Les 2 hommes (hormis Kennedy) sont nés dans une cabane en planches". Une note d'humour malheureusement parfois reprise au premier degré...
Tout commence en 1960.
Dans la petite ville de Esbo, en finlande se trouve un lac apellé Bodominjärvi (en finnois).
4 jeunes gens :2 garcons et 2 filles partent campés sur les rives du lac.
Seul 1 survivra a cette nuit dramatique.
Pendant la nuit le groupe est attaqué par un mystérieux personage qui s'en prend au groupe tout entier.Un des garcons,Nils Gustafsson, arriva a s'extirper de la tente pendant que ses amis se faisait massacrés.
Il raconta a la police que l'homme avait une lueur rouge dans ses yeux (cf: Red Light In my Eyes de Children Of Bodom).
Le meurtrier du groupe s'en prit a eux d'une violence sauvage car les corps furent retrouvés au plus profond du lac, découpés en morceaux.
L'autopsie révéla que seule une trés grande épée ou une grande faux aurait pu causer de tels dégats.
Nils Gustafsson resta dans un mutisme presque abusif pendant 1 an.
Il raconta que c'était la mort qui était venu les chercher.
Personne ne put démentir ou confirmer ses dires vu qu'ils étaient seuls dans ls environs au moment des faits.
Il fut accusé en 2005 du meurtre de ses amis mais il fut innocenté pour fautes de preuves.
Aujourdhui on ne sait presque rien de se crime: avec quelle arme le meurtrier a t'il agit?pourquoi?qu'est t'il devenu? y'avait t'il vraiment une lueur rouge dans ses yeux?
Le mystere reste entier....
Recueilli par une unité pour malades d'Alzheimer aux États-Unis, il détecte les patients dont la mort est imminente et reste près d'eux pour un ultime réconfort.
« OSCAR arrive devant la chambre 313. La porte est ouverte, il entre. Mme K. est allongée paisiblement sur son lit et respire doucement. Autour d'elle, les photos de ses petits-enfants et une de son mariage. Malgré ces souvenirs, elle est seule. Oscar saute sur le lit, renifle l'air et marque une pause, histoire de considérer la situation. Sans plus hésiter, il fait alors deux tours sur lui-même pour se lover contre Mme K. Une heure passe. Oscar attend. Une infirmière entre, vérifie l'état de la malade et note la présence d'Oscar. Préoccupée, elle sort et commence à passer des coups de téléphone. La famille arrive, le prêtre est appelé pour les derniers sacrements. Le matou ne bouge toujours pas. Le petit-fils de Mme K. demande alors :»Mais que fait le chat ici ?* Sa mère, maîtrisant ses larmes, lui répond : »Il est là pour aider grand-mère à arriver au paradis... * Trente minutes plus tard, Mme K. pousse son dernier soupir. Oscar se lève, sort à pas de velours, sans que personne ne le remarque... »
Une fois n'est pas coutume, la prestigieuse revue médicale américaine The New England Journal of Medicine, dans son dernier numéro, loin de ses articles austères, a choisi de publier l'histoire vraie et touchante d'un petit chat pas comme les autres. Recueilli dans une unité pour malades d'Alzheimer à Rhode Island aux États-Unis, il présente la particularité incroyable d'identifier les patients dont la mort est imminente et de se blottir alors contre eux pour leur apporter un ultime réconfort. Il s'intéresse à chaque patient, mais ne s'installe sur leur lit que lorsque le moment fatal est arrivé. Le docteur David Dosa, gériatre à l'hôpital Rhode Island de Providence, travaillant dans cette unité, décrit avec précision dans le New England comment ce chat a transformé les pratiques de fin de vie, en prévoyant les décès, permettant d'organiser l'appel aux familles et les derniers offices religieux.
Il s’appelle Oscar et semblerait pouvoir prédire qui va mourir. Habitant une maison de retraite, le chat indiquerait avec fiabilité, qui serait le prochain à s’éteindre.
En effet, le chat qui de nature timide ne s'approche jamais des gens qui le cotoient, pour une raison inexpliquée irait voir une des personnes agées de la maison de temps a autre, pour lui tenir compagnie. Cette personne mourrait alors dans les 4 prochaines heures. Une vingtaine de cas ont étés rapportés.
Cette petite histoire nous se produisit le 8 février 1855 dans la campagne anglaise. Ce jour est resté gravé dans la mémoire des habitants des nombreux petits villages de la région du Devon. Bien qu'aucune preuve concrète soit restée visible de cet évènement, il y a eu plusieurs témoins, ce qui peut donner une bonne crédibilité à l'histoire.
Les marques de « sabot du diable » doivent leur nom aux villageois stupéfaits qui les ont vu apparaître du jour au lendemain alentour de leurs villages. Ce matin là, ils découvrirent dans la neige d'innombrables empreintes mystérieuses. L'énigmatique piste fesait le tour de 18 villages et se retrouvait sur plus de 160 kilomètres.
Ce qui rendait la piste vraiment mystérieuse, c'est que les traces de sabots étaient alignées en ligne droite, comme si la créature qui les avaient laissée derrière elle n'avais qu'une patte, ou marchait en bondissant un pied devant l'autre. Les traces fesaient 7 cm de largeur et 10 cm de longueur. Les empreintes se répétaient à intervalle régulier et, n'avaient laissées aucun résidus de neige alentour, comme si la neige avait été enlevée ou avait fondue. À certains endroits les traces étaient si nettes qu'ont auraient pu croire qu'elles avaient été imprimées ou encore coupées grâce à un couteau.
Accompagnés de leurs chiens et de leurs armes, certains villageois décidèrent donc d'enquêter sur ce phénomène, mais ce qu'ils trouvèrent ne fera que renforcer davantage le mystère. Ils sillonnèrent la campagne en tous sens, visitant les fermes, reliant les villages de Bicton, Powdersham, Dawlish, Totnes, Torquay et quelques autres.
En effet, les traces ne semblaient que très peu être influencées par les contraintes du terrain. La mystérieuse créature avait marchée sur les murs, sautée par dessus des maisons et traversée de murs par des fissures ou marcher par dessus des charettes remplies de foin. Le comble fut atteint lorsqu'on en découvrit à l'intérieur d'une buse de drainage de 15 centimètres de diamètre, entrant et ressortant de l'autre coté comme si l'obstacle n'avait pas existé... Les traces traversaient un estuaire et se recroisaient aussi à certains endroits, rendant presque impossible de savoir ce que pouvait bien chercher cette curieuse créature.
Les hypothèses furent très nombreuses, certains croyaient à un espèce de reptile, une outarde ou même un kangourou, mais aucune de ces explications ne tient la route. D'autant plus que la distance parcourue est vraiment trop grande pour qu'un homme puisse la parcourir en une seule nuit et nul n'est capable de sauter par dessus les murs ou de suivre le curieux trajet qu'avait suivie la bête.
En 1855, les hélicoptères et les moyens que nous aurions aujourd'hui pour faire ce genre (et encore là, il serait impossible de le faire avec autant de discrètion que celle dont à fait preuve l'insolite animal) seraient bruyant et resterais complexe. À cette époque, le ballon à air chaud motorisé venait de faire son apparition en France (1852), mais il aurait été impossible d'effectuer un tel parcour avec une telle précision. De plus, les moteurs étaient bruyants.
D'ailleurs, il ne faut pas oublier que pour compliquer toute l'histoire, les témoins ont tous déclarés que les traces ne semblaient pas avoir été faite par compression, mais plutôt comme si la neige avait été enlevée.
Il ne semble pas exister d'explication plausible à cette histoire, elle fait partie de ces récits donc la cause restera pour toujours ignorée...
Au Mexique :
Un fantôme guérisseur
Les Mexicains disent qu'il arrive que le fantôme de Pancho Villa, justicier hors-la-loi, assassiné en 1923 apparait parfois; il aurait le pouvoir de guérir et aurait même ramené un fou à la raison.
Aux îles Banks (Pacifique) :
Des pierres maléfiques
Les indiens de ces îles préfèrent éviter certaines pierres qui aurait le pouvoir d'aspirer l'âme de ceux qui passent trop prés.
Au Etat-Unis :
(état de New-York)
Un train fantôme
Le train funébre d'Abraham Lincoln, président des Etat-Unis qui a abolit l'esclavage, et qui fut tué en 1865, apparaitrait certaines nuit.
(grandes plaines du nord)
La tête de l'indien
Dans ces immenses plaines ont peut y voir apparaitre une tête humaine aux ailes de chauves-souris et aux serres d'aigles. Cette tête serait celle d'un guerrier indien.
(Shiloh)
Une bataille fantôme
Durant les mois qui suivirent la bataille de Shiloh, bataille de la guerre de sécession, en 1882, on continua à entendre les bruit de la bataille.
En France :
Le visiteur des tuilleries
Ala veille d'une guerre les visiteurs des tuilleries pouvaient (et peuvent probablement toujours) voir apparaitre un étrange individu en habit écarlate.
En Allemagne :
Un sous-marin hanté
En 1916 fut construit le sous-marins allemand UB-65, se dernier apparu maudit dès le début de sa construction : des ouvriers furent bléssés et d'autres tués.
Lors de sa première navigation, il failli couler et aprés cette dernière, plusieurs hommes, dont un officier mourirent. Le fantôme de l'officier hanta la passerelle du bâtiment jusqu'à se qu'il disparaisse en mer.
Au vatican :
Le tombeau flamboyant
Le pape Alexandre VI aurait eu une vision de son tombeau auréolé de lumière un peu avant de mourir (probablement empoisonné)
En Inde
Les sinistres barbus indiens
Dans la campagne indienne, à la tombée de la nuit, d'horrible créatures barbus et cornues, aux dents pointues, se mettraient à roder autours des villages attaquant férocement passants et voyageurs égarés.
Au Japon
Le fantôme sans jambes
Les croyances traditionnels japonnaise attribu à ce spectres tordu et cul-de-jatte jaissant des flammes le signe d'une mort prochaine.
En Australie
Les mains qui appellent
En 1905, deuux mains géantes seraient apparu au travers d'une cascade. Derrière cette cascade on auraient retrouvés une grotte abrittant des squelettes.
En campagne
Le chien noir du Diable
Un chien démoniaque à l'oeil unique,nomé Black Shuck, courirait la nuit dans les campagnes. Son aboimentlugubre serait présage de malheur.
En mer
Un vaisseau de malheur
Sur toutes les mers du globe, les marins redoute de voir apparaitre dans la brûme la silhouette du "Hollandais volant" qui serait anonciateur de naufrage.
Nous sommes au mois de juin 1999, on découvre à l’intérieur d’un homme un bien étrange cas très rare... et très horrible....
Sanju Bhagat depuis tout petit est gêner à cause de son ventre qui a toujours été assez gros. Mais par cette nuit de juin sa vie va basculer...
Son ventre avait atteint de telle proportion qu’il dut être emmené à l’hôpital étant donné que les douleurs l’empêchaient de respirer. A première vue les médecins ont tout de suite pensé à une tumeur. Tout de suite au vue de la taille ils pensaient déjà aux différents problèmes et difficulté pour l’extraire.
L’opération commença rapidement et après avoir enlever une quantité impressionnante de liquide ils tombèrent sur quelque chose de terrifiant.
Rapidement le médecin tomba sur ce qui semblait être une main, il fut presque horrifié. En continuant il mit la main sur des os, des morceaux de membres, ce qui était à l’intérieur de son corps avait des mains des pieds et des ongles déjà bien formé.
En fait à l’intérieur de cet homme s’était développé le fœtus de son frère jumeau. Même si le cas est très rare il a continué à se développer dans le ventre de son frère s’étant accroché aux organes et s’était mis à se nourrir en parasitant l’intérieur de cet homme de trente six ans. Il atteignit finalement un stade trop gros et commença à nuire à son hôte.
D’après la médecine moins de quatre vingt dix cas de ce genre ont été enregistrer dans la littérature médicale...
Les mystérieuses pluies rouges de l’Inde
Pendant 6 semaines au cours de l’été 2001, plusieurs averses de pluies couleur rouge sang se sont abattues sur la région de Kerala, dans le sud de l’Inde. Depuis, plusieurs analyses ont été effectuées sur des échantillons prélevés à l’époque, mais les chercheurs ne parviennent pas à trouver un consensus pour expliquer le phénomène. Pour les uns, comme Godfrey Louis, physicien à l’Université de Mahatma Gandhi, cette pluie est d’origine extraterrestre : des microbes et du matériel biologique venus de l’espace auraient pu être vaporisés par une météorite. Pour les autres, comme Charles Corkell, chercheur anglais à l’Open University, cette pluie contenait des cellules sanguines... terrestres : une météorite explosant en haute altitude aurait provoqué la mort de créatures non identifiées (certains évoquent un gigantesque essaim de chauve-souris), et leurs restes microscopiques seraient retombés pendant plusieurs semaines sous formes de pluie... On se demande laquelle des 2 hypothèses est la plus incroyable !
Les pierres bougent. Et personne ne les voit bouger. Pourtant, des milliers de personnes ont pu voir les sillons qu'elles creusent en roulant dans les Lits des anciens lacs, dans les montagnes de la sierra Nevada, à l'Ouest des Etats-Unis.
Très haut dans les montagnes de la sierra Nevada, dans les régions reculées qui bordent d'un côté la Californie et de l'autre le Nevada, on s'est aperçu qu'à certains endroits les pierres se déplacent au cours de la nuit. Il est même arrivé qu'un groupe de pionniers se soit trouvé bloqué dans ces collines au terrain accidenté, creusé de sillons multiples et profonds, ou dans les lits de ces pas, puisqu'ils se dirigeaient vers des terres plus hospitalières pour prospecter ou s'y installer. Ces lieux font maintenant partie du Parc national de la où les pierres mouvantes milliers de touristes. Le plus célèbre de ces lacs asséchés, ou Playas est sans doute le Racetrack Playa : large d'environ 2 km et long de 5 km, le lac se trouve à 1200 m environ au-dessus du niveau de la mer L'œil du visiteur est immédiatement attiré par ces énormes cailloux et blocs de pierre qui jonchent cette plaine de boue sèche et craquelée. La qualité de la lumière et l'altitude ajoute à l'effet surréel produit. Ces roches aux sillons profonds qui serpentent loin derrière eux donnent l'impression d'être à la fois immobile et en mouvement. Jamais personne n'a vu ces pierres bouger, et pourtant elles bougent ! ... On a pu constater au cours des dernières années que ces rochers n'avaient pas roulés seuls mais avaient été poussés, laissant derrière eux un sillon de leur largeur. En 1955, un géologue, George M. Stanley, écrivit dans le bulletin de la société américaine de géologie (G.S.A.) qu'il croyait à une conjuration des effets mécaniques de la glace et du vent. Ce qui intrigua Stanley, c'est les rochers semblaient se déplacer souvent ensemble. Il conclut que des couches de glace s'étaient formées autour de ces blocs de pierre et que le vent soulevant une couche entière propulsait le rocher vers l'avant.
Cette thèse fut jugée plausible et resta longtemps la seule, d'autant que l'on avait pu voir des rochers pris dans des couches de glace se déplacer le long d'autres playas californiens. Cependant, les plaques de glace qui recouvrent les playas de la Vallée de la Mort sont extrêmement fines. Même si elles étaient capables de déplacer des roches plus petites, elles ne pourraient soulever des blocs de 155 à 170 kg laissant de tels sillons derrière eux. Stanley en convint. Le mystère du Racetrack Playa acquit une audience mondiale dans les années soixante. En 1969, il attira l'attention du docteur Robert P Sharp, appartenant au département de géologie de l'Institut californien de technologie. L'étude que ce chercheur entreprit sur le mouvement des pierres dura sept ans. Il choisit vingt-cinq roches de formes et poids différents (jusqu'à 455 kg), chaque rocher fut baptisé, et on planta des poteaux métalliques pour marquer leur position initiale. Le docteur Sharp ajouta plus tard cinq rochers à son étude. Chaque fois qu'il se rendait dans la Vallée de la Mort après une très difficile expédition (il lui fallait parcourir un chemin très dur et très accidenté de 50 km), le docteur Sharp recherchait les rochers marqués qui avaient pu bouger, marquait d'une borne leur nouvelle position et mesurait la distance parcourue. Durant sept années de travail, vingt-huit des trente pierres étudiées avaient bougé. La longueur totale de tous les déplacements couvre une distance de 262 m. Le plus grand mouvement "solitaire > est celui d'un galet de 250 g, appelé Nancy, qui parcourut une distance de 201 m. La direction générale de ces mouvements est le Nord-nord-est, avec quelques petites déviations vers l'Est et le sud-est, ce qui correspond à la direction des vents prédominant dans le playa. Sharp ne tarda pas à remarquer qu'une sorte de crête surmontait les côtés du sillon et que, dans son mouvement, la pierre poussait devant elle un petit tas de débris. C'était l'indication que les pierres devaient se déplacer sur un terrain souple et non durci par une forte sécheresse ou par la glace. Sharp remarqua aussi que la plupart des mouvements enregistrés s'étaient déroulés en trois périodes : les hivers particulièrement rudes et orageux de 1968-1969, 1972-1973 et 1973-1974. Il faut cependant remarquer qu'une partie seulement de ces pierres s'est déplacée tout au long de ces trois périodes. Sharp en conclut donc que la pluie est un agent aussi important que le vent. Les playas ne sont que peu arrosés - 0 à 8 cm par an, mais sont entourés de 180 km2 de collines qui constituent une sorte de zone réservoir. La plus légère pluie dans cette zone fait ainsi apparaître une fine couche d'eau sur presque tout le playa. La surface du playa étant argileuse, il se forme, sous l'action de la pluie, une sorte de feuille d'eau avec des particules d'argile suspension. En revanche, si l'eau détrempe le sol assez profondément ou assez longtemps les pierres s'enlisent dans une argile consistance douce et collante. A 0,6 cm d'eau, la surface est assez ferme pour soutenir les pierres. En 1976, Sharp écrit dans le Bulletin de la G.S.A. : " Le secret est de percevoir précisément au bon moment le jeu du vent et l'eau. Selon lui, le mouvement se produit probablement en l'espace de un à trois jours de temps humide et orageux, quand la surface est "lisse comme un sifflet >. Une puissante tornade suffit à amorcer le glissement du rocher et ensuite une légère brise continuera à le faire avancer. Sharp maintient que les collines des environs canalisent et conduisent les vents vers le playa à des vitesses suffisamment importantes pour déplacer les rochers. Plus la surface sur laquelle repose la pierre est lisse, plus rapide sera le mouvement. Il a aussi calculé la vitesse maximale d'un déplacement : 1 m par seconde. Le phénomène de mouvement des pierres n'est pas particulier au Racetrack Playa. On a pu observer ce phénomène dans au moins dix autres playas de Californie et du Nevada. Il arrive aussi que des traités de géologie mentionnent des anomalies similaires.
Dans un article écrit en 1879 pour la revue Nineteenth Century, Lord Dunraven raconte l'étrange vision d'un lac, en Nouvelle-Ecosse, qu'il a visité l'année précédente. ( Un jour, un serviteur indien raconta que dans un lac tout proche les rochers émergeaient de plus en plus, ce qui ne fut pas sans m'étonner. Je suis donc allé voir ce spectacle, sûr que l'on verrait les rochers sortir de l'eau et se diriger vers la terre sèche. Le lac est considérablement étendu, mais peu profond et regorge de grosses masses rocheuses. Beaucoup semblent être complètement sorties du lac et sont maintenant perchées au sec à 14 m environ de la rive. Vous pourrez en voir de toutes les tailles : des blocs de 1,8 à 2,4 m de diamètre jusqu'à des pierres qu'un homme pourrait soulever. On en trouve, de plus, à tous les stades de leur progression, certaines à 90 m ou plus de la rive et d'autres apparemment au début de leur progression, d'autres à mi-chemin et d'autres encore... perchées au sec. Dans tous les cas, elles ont creusé derrière elles un sillon plus ou moins important. Lord Dunraven remarqua aussi un énorme spécimen à quelque distance du bord de l'eau. Il était précédé d'un amalgame de pierres et de terre de 1 m de haut. Il avait creusé derrière lui, d'une largeur exactement égale à la sienne, un sillon qui courait jusqu'au rivage avant de se perdre dans l'eau. A la fin de l'année 1879, une lettre publiée dans le Scientifique American expliquait ce phénomène tout à fait étrange et ressemblant étonnamment à celui des playas.
L'auteur qui signait J.W.A. prétendait avoir observé des phénomènes identiques dans d'autres lacs canadiens. Selon son explication, l'effet est beaucoup plus spectaculaire dans des lacs peu profonds, en partie entourés de rives abruptes ou de collines. La glace, en se formant, s'étend et exerce une poussée dans toutes les directions. Les collines forment d'un côté un obstacle inébranlable, ce qui a pour effet de doubler la poussée sur le rivage ouvert. En eau plus profonde, la glace se répand jusqu'au fond du lac et y emprisonne les roches. Quand son volume augmente, elle emporte avec elle les rochers et tout autre débris ; Elle les dépose plus loin quand cesse sa dilatation, et à la fonte des neiges. Chaque hiver, la glace se dilate et fond : les mouvements cumulés seraient ainsi assez importants pour pousser les rochers sur la terre ferme. En 1884, dans le Scientific American, le professeur Charles A. White proposa une explication au mystère des "lacs emmurés" de l'Iowa c'est ainsi qu'on les appelle. On pensait à l'origine qu'ils étaient l'œuvre d'une race aujourd'hui disparue. Ce sont, selon le professeur, les poussées glaciaires successives qui ont déposé des blocs compacts de terre de graviers et de galets tout autour des lacs peu profonds. On peut donc donner une explication à ces mouvements. Mais l'aspect surréaliste de ces playas, ces rochers et les sillons qu'ils ont creusés derrière eux nous font encore une fois prendre conscience de tous les mystères et de toutes les merveilles de la nature.
Avec la sortie du film le Nombre 23 en début d’année, nous rendons hommage au regretté Robert Anton Wilson en reproduisant cet article de 1977 de (vous l’aurez deviné) Fortean Times n°23...
J’ai entendu parler la première fois de l’énigme du nombre 23 par William S Burroughs, l’auteur de Festin Nu, Nova Express etc… Selon Burroughs, il avait connu un certain Capitaine Clark, vers 1960 à Tanger, qui s’était vanté une fois d’avoir navigué 23 ans sans accident. Ce jour-là, le bateau de Clark eut un accident qui le tua ainsi que tout le monde à bord. De plus, alors que Burroughs pensait à ce cruel exemple de l’ironie des dieux ce soir-là, un bulletin radio annonça le crash d’un avion de ligne en Floride. Le pilote était un autre capitaine Clark et le vol portait le numéro 23.
Burroughs a commencé à collectionner les 23 étranges après cette horrible synchronicité et, après 1965, j’ai aussi commencé à le faire. Beaucoup de mes 23 bizarres sont incorporés dans la trilogie Illuminatus ! que j’ai écrit en collaboration avec Robert J Shea en 1969-1971. Je mentionnerai seulement quelques uns d’entre eux pour donner une idée aux âmes ignorantes qui n’ont pas lu Illuminatus !
Lors de la conception, la mère et le père donnent 23 chromosomes au fœtus. L’ADN, le vecteur de l’information génétique, a des irrégularités de liaison tous les 23ème Angstrom. Aleister Crowley, dans son Dictionnaire Cabalistique, définit 23 comme le nombre de "vie" ou "un fil", suggérant de façon obsédante le texte vital de l'ADN. D'un autre côté, le nombre 23 a de nombreux liens avec l'interruption : en code télégraphique, 23 signifie "stop" ou "interruption" et l'hexagramme 23 du I Ching signifie "l'éclatement". Sidney Carton est le 23ème homme guillotiné dans la vieille pièce le Conte de deux Cités (quelques dictionnaristes croient que c'est là l'origine de la mystérieuse expression d'argot "23 skiddoo !" [sauve qui peut]).
Certaines personnes ont un paquet de synchronicités avec le 23. Burroughs a découvert que le bootlegger "Dutch Schultz" (nom réel: Arthur Flegenheimer) avait fait assassiner Vincent "Mad Dog" Coll sur la 23ème rue de New York quand Coll avait 23 ans. Schultz a lui-même été assassiné le 23 octobre. En cherchant plus loin dans le cas de Dutch Schultz, j'ai trouvé que Charlie Workman, l'homme reconnu coupable du meurtre de Schultz, a purgé 23 ans de perpétuité puis a été mis en liberté conditionnelle.
Le Pr Hans Seisel de l'Université de Chicago a raconté ce qui suit à Arthur Koestler qui l'a publié dans The Challenge of Chance. Les grands-parents de Seisel avaient un 23 dans leur adresse, sa mère avait un 23 à la fois dans son numéro de rue et d'appartement, Seisel lui-même a eu un 23 à la fois dans l'adresse de son domicile et de son cabinet, etc. Lors d'une visite à Monte Carlo, la mère de Seisel a lu un roman, Die Liebe der Jeannie Ney, où l'héroïne gagne beaucoup d'argent en misant sur le 23 à la roulette. Sa mère a essayé de parier sur le 23 et il est sorti au deuxième essai.
Adolf Hitler a été initié à la Société Vril (que beaucoup considèrent comme une façade des Illuminati) en 1923. La Morgan Bank (qui est considérée comme le garant financier des Illuminati par la John Birch Society) est au 23 Wall Street à Manhattan. Quand Illuminatus ! a été adapté en pièce, la première a eu lieu à Liverpool le 23 novembre (qui est aussi l'anniversaire de Harpo Marx). Ken Campbell, le producteur d'Illuminatus !, a découvert plus tard à la page 223 du Souvenirs, rêves et pensées de Jung, un rêve étrange sur Liverpool dont Campbell dit qu'il décrit l'intersection de la rue du théâtre où Illuminatus ! avait démarré. (Jung, bien sûr, a été le premier psychologue à étudier les coïncidences étranges de ce
Mort de Théo et de sa grand-mère : la thèse du suicide probable
Les enquêteurs qui cherchaient à établir si la grand-mère et son petit-fils retrouvés morts, le 12 février, dans un canal à Carhaix, ont été victimes d'un accident ou s'il s'agit d'un suicide, ont progressé. Un anxiolytique et un antitussif en doses très importantes, "à savoir 10 fois la dose thérapeutique", ont été retrouvés dans le sang de la grand-mère, Rosine, 70 ans, a indiqué, jeudi 5 mars, la vice-procureur de Morlaix, Elise Tréguer, après avoir reçu les résultats d'une analyse toxicologique.
Concernant Théo, le petit-fils de trois ans et demi, il a ingéré "une dose adulte de sirop antitussif", a également déclaré la vice-procureur. Ces médicaments, qui n'ont pas été pris en dose mortelle, ont "provoqué un état de somnolence", selon l'expert cité par Mme Tréguer. "On peut penser que c'est un suicide. On ne saura jamais si elle a pris ces médicaments et qu'ensuite, elle a eu cet accident. Mais le suicide est plus probable", a-t-elle ajouté.
Rosine et son petit-fils avaient disparu le 10 février. C'est la mère du petit garçon qui avait donné l'alerte en milieu de soirée après avoir constaté que la maison de la grand-mère qui gardait l'enfant était vide et que la voiture n'était plus au garage.
Le lendemain, le parquet de Morlaix avait ouvert une enquête pour "disparition inquiétante", tandis que la gendarmerie explorait les environs de Carhaix et notamment les cours d'eau et les étangs.
Le témoignage d'un riverain qui avait remarqué des traces de pneus menant dans l'eau avait orienté les recherches de la gendarmerie vers le canal de Nantes à Brest sur les bords duquel la grand-mère, ancienne employée communale de Carhaix, avait l'habitude de se promener. La voiture de Rosine avait été découverte par 4 mètres de fond, portières et vitres fermées.
Suicide dans l'entreprise : l'ultime témoignage
300 à 400 salariés se suicideraient en France chaque année1 sur leur lieu de travail. Impossible de ne pas faire le rapprochement entre souffrance et situation professionnelle. Tout en explorant cette piste, les cliniciens font part de leurs inquiétudes sur ce phénomène dangereusement banalisé. Rencontre avec l'un d'entre eux, Christophe Dejours, psychiatre et directeur du Laboratoire de psychologie du travail et de l'action2. Celui-ci contribue à l'élaboration d'un guide pratique sur la conduite à tenir en cas de suicide3.
Vous vous penchez sur l'ultime témoignage de la souffrance au travail, le suicide dans l'enceinte de l'entreprise4. Un fléau qui touche toutes les catégories socio-professionnelles, des ouvriers aux cadres. Ce travail de recherche est un des rares sur le sujet, pourquoi ?
Christophe Dejours : Parce que ce phénomène est récent, cliniquement nouveau. Il est apparu il y a une huitaine d'années. Avant cela, il touchait exclusivement les agriculteurs et salariés agricoles acculés par les dettes et dont lieux de vie et de travail se confondaient. En dehors d'eux, si l'on se réfère aux archives de la médecine du travail, les suicides se commettaient généralement dans l'espace privé. Il était donc difficile de démontrer que le rapport au travail pouvait être en cause.
Qu'est-ce qui a déclenché cette apparition du suicide sur la scène professionnelle ?
C.D. : Un des éléments déclencheurs est la dégradation profonde du « vivre ensemble », les gens sont très seuls face à l'arbitraire. Il y a toujours eu de l'injustice ou du harcèlement dans l'entreprise, mais autrefois, les syndicats, entre autres, scellaient les solidarités. Aujourd'hui, avec l'effritement de ces solidarités et la peur de la perte d'emploi, la convivialité ordinaire elle-même est contaminée par des jeux stratégiques qui ruinent les relations de confiance et colonisent l'espace privé. Notamment chez les cadres, dont la vie tout entière est tendue par une lutte pour progresser dans leur carrière ou pour ne pas perdre leur position.
Quels sont les indices qui mettent en évidence la responsabilité de l'entreprise dans ce type de suicides ?
C.D. : Certaines victimes laissent une lettre, un journal, d'autres se suicident devant leurs collègues. Leurs mots accusent l'entreprise et désignent des coupables. Le ton est celui de la colère, de la honte, de la défaite. N'arrivant plus à gérer le conflit qui les opposait à une hiérarchie ou à des collègues, elles ont perdu confiance en elles et retourné cette violence contre elles. Soulignons que ces personnes étaient souvent zélées, brillantes, sociables. Elles avaient beaucoup investi dans l'entreprise et n'ont pas supporté d'être injustement déconsidérées, rétrogradées.
Y a-t-il une remise en cause de l'entreprise et de ses membres à la suite d'un événement si grave ?
C.D. : Les médecins du travail se heurtent à une sorte de conspiration du silence. Le suicide déclenche la culpabilité de chacun, et à tous les niveaux de l'entreprise, on préfère occulter ce qui s'est passé.
Quel est le danger d'un tel déni ?
C.D. : Il y a un risque pour l'entourage professionnel du défunt de porter la culpabilité de sa mort, qui va empoisonner les relations entre les survivants. Le fait que l'entreprise ne réagisse pas pourrait signifier que la personne décédée ne représentait rien, que même un suicide n'arrête pas le travail. Et dans ces cas, il n'est pas rare qu'un suicide soit suivi par un autre suicide.
Votre rôle – cliniciens et chercheurs – est d'alerter sur cette banalisation afin de prévenir d'autres cas, comment ?
C.D. : En brisant le silence qui suit le suicide, puis en identifiant le mobile. Les lettres, les témoignages de l'entourage personnel des défunts font référence à des signes avant-coureurs. Si le travail est bien en cause, il faudra que le management évolue.
Dans quelques jours cela fera un an qu'Anne Sophie Girollet a été assassinée à Mâcon en Saône et Loire. Ce triste anniversaire nous rappelle que depuis vingt ans dans le département, plusieurs meurtres de jeunes filles n'ont toujours pas été élucidés. Six familles réunies autour de l' "association Christelle" (à la mémoire de Christelle Blétry assassinée en 1996) poursuivent le combat pour connaître enfin la vérité dans ces affaires.
Rappel des faits
14 novembre 1986: Sylvie Aubert, 23 ans, quitte le supermarché de Chalon sur Saône dans lequel elle travaille. Elle est retrouvée peu après étranglée et les mains liées par du fil de fer.
18 décembre 1986: Christelle Maillery, une collegienne de 16 ans, est retrouvée dans une cave d'un immeuble du Creusot quelques heures après sa disparition. Son corps présente 33 plaies faites à l'arme blanche. Après un non-lieu en 1990, une information judiciaire a été ouverte en septembre 2005 après la découverte de deux ADN sur une lettre anonyme envoyée à la police à l'époque des faits.
16 août 1987: Marthe Buisson, âgée de 16 ans est retrouvée le crâne fracassé sur la bande d'arrêt d'urgence de l'A6.
3 septembre 1987: Nathalie Maire, 18 ans, qui occupe un emploi saisonnier sur l'aire d'autoroute de Saint Albain, est battue à mort et étranglée avec un câble électrique. Malgré un témoin qui affirme avoir vu un homme s'enfuir, l'enquête n'a jamais abouti.
18 novembre 1990: Carole Soltisyak, âgée de 13 ans, est retrouvée morte le lendemain de sa disparition dans un bois à une quinzaine de kilomètres de Montceau les Mines. La collégienne a été violée, étranglée et tuée de 4 coups de couteau au thorax. Deux hommes sont arrêtés en 2000 puis remis en liberté en 2001. Leur ADN ne correspond pas à celui prélevé sur le corps de l'adolescente. En septembre 2005, ce même ADN est comparé a celui de Francis Heaulme et de Michel Fourniret, sans plus de résultat.
28 décembre 1996: Christelle Bletry, 20 ans, étudiante dans un lycée agricole, avait prévu de rentrer à pied d'une soirée chez des amis à Blanzy. Son corps est retrouvé au bord d'un chemin lardé de 123 coups de couteau. Selon le rapport d'autopsie, elle a été tuée en position assise. Probablement dans une voiture. Un jeune homme qui avait menacé la jeune fille d'un couteau quelques jours avant le drame avait été mis hors de cause grâce au témoignage de huit personnes qui lui fournissait un alibi. En 2003, un ami de la famille est placé en garde à vue puis est relaché.
7 février 1997: Virginie Bluzet, 21 ans disparaît à la sortie d'une brasserie en Côte d'Or. Elle est retrouvée morte et menotée le 17 mars 1997 à Verdun sur le Doubs, en bordure de Saône.
1er Juin 1999: Vanessa Thiellon, une apprentie cuisinière de 17 ans disparaît. On retrouve son corps dénudé quatre jours plus tard au bord de la Saône à Mâcon. Il présente des traces de coups violents. L'autopsie conclut à une mort par overdose. Son petit ami a été mis en examen pour "homicide involontaire" mais l'enquête se poursuit.
19 mars 2005: Anne Sophie Girollet, une étudiante en médecine de 20 ans, disparaît après avoir participé à un gala de danse. Elle devait rejoindre son petit ami, présent au gala, à quelques kilomètres du club. Un témoin donne le signalement d'un homme au comportement étrange présent sur le parking du club où s'est tenu le gala. Un portrait-robot est établi. Le 22 mars 2005, sa Peugeot 405 grise est retrouvée gisant sur le toit au fond de la Saône. Les policiers ne trouvent aucun indice à l'intérieur du véhicule et la jeune étudiante reste introuvable. Le 2 avril 2005, le corps d'Anne Sophie est retrouvé près d'un pont de Macôn, flottant dans la Saône. Elle est décédée par suffocation à cause de coups reçus au thorax. Une quinzaine de personnes dont quatre hommes d'origine turque vont tour à tour être placées en garde à vue sans qu'aucune charge ne soit retenue contre elles. Les enquêteurs constatent des similitudes avec l'assassinat de Vanessa Thiellon en 1999. Un an après les faits l'enquête piétine.
Réunies par l'association Christelle, créée par Rose-Marie Blétry, les familles de Christelle Maillery, Nathalie Maire, Carole Soltysiak, Virginie Bluzet et Vanessa Thiellon ont choisi d'être défendues par Me Didier Seban, l'avocat des parties civiles dans l'affaire des disparues de l'Yonne. Elles demandent aux enquêteurs d'effectuer des rapprochements entre tous ces dossiers, et qu'une cellule d'enquête unique soit créée. C'est notamment grâce à leur action que des comparaisons d'ADN ont été réalisés avec Michel Fourniret et Francis Heaulme l'an dernier.
Mineurs 38 : Neuf meurtres et disparitions d'enfants non résolus
Locations
Neuf meurtres et disparitions d'enfants, perpétrés sur une période de treize ans, demeurent non élucidés en Isère. Ces affaires criminelles non résolues touchent 5 garçons et 4 filles, âgés de 5 à 16 ans, mobilisent la cellule "Mineur 38" bien décidée à mettre en oeuvre tous les moyens aujourd'hui disponibles pour avancer dans leurs investigations.
Le regroupement des procédures ne permet pas pour l'instant d'accréditer l'hypothèse d'un tueur en série, mais les enquêteurs notent des similitudes de lieu et de date.
C'est le sens de l'appel à témoin qui a été lancé par la procureure générale de Grenoble, Martine Valdes-Bouloque, lundi 7 juillet dernier, à toute personne ayant des informations sur ces affaires qui couvrent une période de 13 ans et pour lesquelle les explications manquent.
Sur les 60 meurtres ayant eu lieu à Muskogee depuis 1995, 18 n’ont toujours pas été résolus.
Selon Eskridge, les statistiques de Muskogee reflètent la moyenne nationale de résolution des meurtres. En 1969, la moyenne nationale était de 86% pour les homicides. En 1999, elle avait chuté à 69%.
"La moyenne nationale des résolutions est tombé à 62,6% en 2004, selon le Département Américain de la Justice".
Pour les huit enquêteurs du département de police de Muskogee, le grand nombre d’affaires qui leurs sont confiées est en cause. Car ils n’enquêtent pas uniquement sur des homicides. Ils enquêtent également sur des viols, des cambriolages, des vols et des agressions. De nouvelles affaires arrivent sur leur bureau tous les jours.
Selon les enquêteurs, chacun de ces meurtres non résolus est réétudiés de manière régulière. "Si des personnes nous appellent anonymement ou directement avec des informations, nous la réexaminons", affirme le Sergent Greg Martin.
"En réalité, nous ne classons jamais vraiment ces affaires, assure Eskridge. En fait, très peu des affaires non résolue n’ont pas de suspect. C’est seulement qu’il n’y a pas assez de preuves pour arrêter ce suspect."
Eskridge cite Kenneth Tyrone Brown, 44 ans, condamné en 1995 pour le meurtre d’une artiste locale, Beth Alloway. Il a été condamné à la perpétuité sans possibilité de libération sur parole.
"Brown était suspect dans plusieurs affaire. C’est un véritable tueur en série est un homme très dangereux."
Brown n’était pas considéré comme un tueur en série jusqu’à ce que des informations fassent surface dans l’affaire Beth Alloway.
"C’est devenu évident alors que les enquêteurs travaillaient sur l’affaire. Ils ont alors réalisés qu’il était impliqué dans les autres meurtres".
La manière dont les scènes de crime sont traitées s’améliore à Muskogee.
"La manière de procéder est différente de ce que nous faisions dans le passé, explique le Sergent Martin. Les preuves et l’ADN sont traités différemment. Ils sont emballés et on s’en préoccupe d’une manière différente".
Les sergents Lonnie Bemo et Kris Ledford ont suivi des cours à l’académie de police pour apprendre les nouvelles techniques à utiliser sur les scènes de crimes.
"L’éducation est très importante pour nous. La connaissance est importante", dit Eskridge. "Je veux que le côté intellectuel de nos officiers soit développé."
"Nous travaillons avec nos superviseurs et essayons de leur expliquer la nécessité d’être à la page à ce niveau là" renchérit Bemo. "C’est formidable, ce que j’ai appris à l’académie. J’ai fait ça durant 15 ans et les enseignements m’ont ouvert les yeux".
Lonnie Bemo
Les enquêteurs tentent de "rester à la page" en achetant - de leur propre poche ! - beaucoup d’équipements et de fournitures. Lonnie Bemo utilise son ordinateur portable personnel. Kris Ledford a lui-même acheté des lentilles pour leur nouvel appareil photo.
Selon Eskridge, "Beaucoup d’entre nous utilisons notre propre argent. Beaucoup de nos employés font ça".
Certains de ces équipements sont utilisés tant pour ne pas contaminer les scènes de crimes que pour leur propre sécurité : des masques, des gants et des combinaisons.
Le dernier équipement acquis, il y a 3 semaines, est un "SUV", un gros 4x4 sportif.
"On l’a eu suite à une saisie dans une affaire de drogues", explique Bemo. "Nous l’avons déjà utilisé pour quatre scènes de crimes. Nous avons de grands espoirs pour ce que nous allons en faire dans le futur".
Les boîtes et containers de matériel seront transférés dans le véhicule - les bandes jaunes de scènes de crime, les kit pour détecter le sang, les trépieds, les filtres pour les masques de respiration, les lampes torches, ciseaux, kit pour le relevé d’empreintes... etc.
Découvrir à qui appartiennent des empreintes n’est pas si simple. La police de Muskogee ne possède pas d’ordinateur qui peut scanner les empreintes et trouver un suspect en 5 secondes, comme on le voit dans les série.
"Nous les envoyons à l’OSBI (le Bureau du FBI de l’Oklahoma) et ils les mettent dans l’AFIS (Automated Fingerprint Identification Systems : la base de données nationale d’empreintes digitales)", dit Bemo.
Cela peut prendre des semaines. La plupart du temps, les résultats ne révèlent aucun suspect. Bien que les enquêteurs aient amélioré leurs techniques et leur équipement, c’est toujours une bataille pour arrêter un coupable. Une enquête, c’est surtout un jeu de patience.
"Nous demandons des analyses ADN. Et si nous le faisons, ça prend au minimum UN AN pour obtenir les résultats. Le laboratoire l’Oklahoma est complètement débordé. Nous n’avons pas de machine magique". Le laboratoire d’état -seul- analyse en effet les indices de toutes les agences et forces de police de l’Oklahoma.
Toutefois, les techniques d’investigation à Muskogee se sont vraiment améliorées.
"Nous avons fait beaucoup de chemin depuis le Polaroid, selon Bemo. Et je crois que le public attend de nous cette évolution. J’aimerais pouvoir résoudre tous les crimes comme ils le font à la télé, mais ce n’est pas possible."
LES ENQUÊTEURS veulent désormais savoir si le couple Stéphane Moitoiret-Noëlla Hego n’a pas commis d’autres crimes « faire un incident » dans leur jargon au cours de leurs années d’errance mystique. Une crainte que n’ont pas écartée les gendarmes à l’issue des gardes à vue. « Il ressort des déclarations qu’il y a eu d’autres incidents, notamment un, mais sans qu’on en sache plus », confie une source judiciaire.
Les gendarmes ont saisi Interpol pour demander aux Etats frontaliers de la France de vérifier si le meurtrier présumé avait pu commettre d’autres crimes.
« Le profil est intéressant »
Bien que ne figurant pas dans les fichiers de la police ni de la gendarmerie, le profil très particulier de cet individu, qui erre sur les routes de l’Hexagone depuis des années, a immédiatement amené les enquêteurs à rechercher d’éventuels liens avec des affaires criminelles non élucidées. « Le profil est intéressant », confie le général David Galtier, sous-directeur de la police judiciaire à la gendarmerie nationale, « nous sommes en présence de circonstances particulières et d’un mode opérationnel précis ».
Pour cette raison, les fichiers de la gendarmerie et de la police ont été interrogés sur tous les meurtres non résolus faisant apparaître des agressions à l’arme blanche commises sur des personnes isolées, la nuit et sur la voie publique. « Les ADN de Stéphane Moitoiret et de Noëlla Hego n’ont pour l’instant pas été retrouvés sur d’autres scènes de crime », confie le général Galtier. « Nous avons certains cas précis en tête, comme celui de Jessica en 1995 à Rillieux-la-Pape (Rhône) », poursuit le général. Jessica était un travesti. Il a été tué de plusieurs coups de couteau au thorax. Les auteurs n’ont jamais été identifiés. Il y a aussi le meurtre de Marine, une étudiante de 20 ans. Elle avait été retrouvée morte, lacérée d’une dizaine de coups de couteau le 11 octobre 2005, au domicile de ses parents à Chazay-d’Azergues (Rhône).
Un juge d'instruction de Mâcon vient d'ordonner de nouvelles investigations dans l'affaire Carole Soltysiak
18 ans après le meurtre non élucidé d'une collégienne de 13 ans en 1990 près de Montceau-les-Mines, de nouvelles investigations ont été ordonnées par un juge d'instruction de Mâcon, C'est ce qu'a fait savoir, mercredi 27 février, Jean-Marie Beney, procureur général près la Cour d'appel de Dijon.
Jean-Marie Beney a toutefois précisé "qu'en l'état de ces investigations supplémentaires,
ordonnées à l'automne dernier et qui sont toujours en cours, aucun élément objectif
nouveau ne permet de faire rentrer le tueur en série Francis Heaulme dans ce dossier".
Dans son édition du lundi 25, notre confrère Aujourd'hui en France indiquait que "le routard du crime", le surnom de Francis Heaulme, était soupçonné du meurtre de Carole Soltysiak, tuée à l'arme blanche et étranglée près de Montceau-les-Mines, en Saône-et-Loire, en 1990. Selon le quotidien, "la forme des blessures infligées à la victime fait penser
aux gestes de Francis Heaulme".
Selon le procureur général, "des expertises de l'époque n'avaient pas été exploitées et la recherche ADN n'était pas la même qu'aujourd'hui". Ces investigations ont "été confiées à un laboratoire de Lyon" a-t-il précisé. "Toutefois - a ajouté le procureur général - ce n'est pas la première fois qu'on essaie de faire entrer Heaulme dans ce dossier, alors que les tests" récents de comparaison des empreintes génétiques relevées sur le corps de la jeune victime et des ADN "de Heaulme mais aussi de Fourniret se sont révélés négatifs". Jean-Marie Beney a indiqué que "ce dossier est vivant" et a affirmé "le suivre avec attention".
Le département de Saône-et-Loire a été confronté entre 1986 et 2005 à une série de meurtres de jeunes femmes toujours inexpliqués mais "dont le seul point commun est leur proximité territoriale", a conclu le procureur général.
Francis Heaulme, âgé de 49 ans, a été condamné à plusieurs reprises par différentes
Cours d'assises pour des séries de meurtre commis dans plusieurs régions de France.
Montigny-lès-Metz : le double meurtre pourrait ne jamais être résolu
Créé le 11/12/07 à 19h22
Le procureur de Metz Joël Guitton a demandé un non-lieu en faveur du tueur en série Francis Heaulme. Le tueur en série était accusé des meurtres de deux enfants à Montigny-lès-Metz en 1986. Une affaire dans laquelle Patrick Dils avait été condamné à deux reprises avant d'être innocenté.
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Le procureur de Metz Joël Guitton a adressé son "réquisitoire définitif" aux deux magistrats instructeurs de l'affaire de Montigny-lès-Metz. Il estime que les charges susceptibles d'être retenues contre Francis Heaulme ne sont pas "suffisantes" pour justifier son renvoi devant une cour d'assises. Il requiert donc le non-lieu. L'avocat de l'une des familles des victimes, Me Dominique Rondu, a confirmé les informations du Républicain Lorrain.
Une terrible nouvelle pour les familles. "C'est triste à dire, mais je n'ai plus de piste", avait estimé le juge Thierry Monfort en avril. Le magistrat avait assuré avoir "tout tenté" pour parvenir à la manifestation de la vérité.
Francis Heaulme devait répondre des meurtres de Cyril Beining et Alexandre Beckrich. Les deux garçonnets de huit ans, avaient été retrouvés le 28 septembre 1986, le crâne fracassé à coups de pierres, sur une voie ferrée. En juin 2006, Francis Heaulme avait reconnu qu'il était monté sur le talus où gisaient les corps des deux enfants avant de revenir sur ses déclarations. En avril dernier, d'ultimes analyses effectuées sur un pantalon de Francis Heaulme, saisi en octobre 2006 au cours d'une perquisition chez la grand-mère du tueur en série à Vaux, près de Metz, s'étaient révélées négatives, privant l'instruction de l'élément matériel capable de fonder les indices rassemblés contre le tueur en série par les gendarmes.
C'est dans cette affaire que Patrick Dils avait été jugé coupable par deux fois. En 1989, l'apprenti-cuisinier de 16 ans avait été condamné à la perpétuité par la cour d'assises des mineurs de la Moselle. En 2001, il avait été une nouvelle fois condamné à 25 ans de réclusion par la cour d'assises de la Marne lors d'un procès en révision à Reims. du Rhône. Présentée au cours de ce troisième procès, une enquête de synthèse de la gendarmerie avait conclu que le double meurtre de Montigny portait la "quasi-signature criminelle du routard du crime, Francis Heaulme", déjà condamné à six reprises pour meurtre.